Valérie Trierweiler se confie sur sa rupture : avec François Hollande, "nous ne sommes pas en guerre"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Valérie Trierweiler se confie sur sa rupture : avec François Hollande, "nous ne sommes pas en guerre"
©

Franchise

En marge de la conférence de presse qu'elle a donnée en Inde, l'ex-Première dame a livré son sentiment sur sa rupture. Pour exprimer "sa vérité".

Même à 12 000 kilomètres de Paris, Valérie Trierweiler fait parler d'elle. Les confidences de l'ex-Première dame vont bon train. En Inde, après la conférence de presse qu'elle a donnée lundi, l'ancienne compagne de François Hollande s'est confiée à quelques journalistes comme le raconte le site de RTL. "Autour d'un café, pendant une heure et demi" comme l'écrit la radio, elle a d'abord affirmé qu'elle se "sentait bien" et qu'elle était "sereine". Puis, elle explique qu'il n'y pas eu de "préavis", c'est donc "bien une rupture". Mais elle s'empresse de dire ensuite que ses rapports avec François Hollande sont bons. "Nous ne sommes pas en guerre et nous continuons de nous appeler" précise Valérie Trierweiler.

Vient ensuite, les regrets. Même si elle l'affirme seulement à demi-mot, pour elle, c'est le pouvoir qui a rongé son couple. "Si François n'avait pas été président, peut-être que nous serions encore ensemble. (...) Je ne l'ai pas poussé à devenir président, je n'ai jamais rêvé d'entrer à l’Élysée. (...) Je suis vaccinée, on ne mesure pas à quel point il y a de la trahison et de l'hypocrisie, on prend des coups sans l'avoir demandé, ce ne sont pas mes codes" raconte l'ex-Première dame.

D'ailleurs, faut-il toujours l'appeler ex-Première dame ? "Cela ne me dérange pas que l'on m'appelle 'ex-première dame', je l'ai été. C'est important qu'il y en ait une à l’Élysée" répond Valérie Trierweiler. Soucieux de connaître son avenir, ses interlocuteurs lui demandent si elle va reprendre son métier de journaliste. "Pourquoi pas" dit-elle tout en lâchant qu'elle aime beaucoup l'humanitaire et qu'elle s'y sent utile. Un aparté rappelé par Europe 1 laisse pourtant entendre le contraire : "Ça ne m'intéresse plus et me dégoûte même un peu", note-t-elle sur son expérience à Paris Match.

Enfin, comment se sent-elle depuis quelques jours ? "Forcément je vais bien aujourd'hui mais dans un mois qui sait". Désormais, Valérie Trierweiler dit aspirer à "un peu de repos". Place au "temps de la réflexion" comme elle le dit pour conclure.

A lire aussi - “ Closergate ”, ép. 10 : Julie sort du bois. Pour préparer — ou pousser — l'officialisation ?

A lire aussi - Pantalonnade (suite et fin) : le tombeau hindou de Valérie Trierweiler

Lu sur RTL.fr

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !