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©Konstantin Mihalchevskiy / AFP

Guerre

L'étude s'appuie sur de nombreuses sources : communiqués officiels, articles de presse locale, universités, écoles etc..

Une enquête de la BBC étudie les pertes confirmées par l'armée russe en Ukraine. L'étude s'appuie sur de nombreuses sources : communiqués officiels, articles de presse locale, universités, écoles etc...

Près de 20% des pertes confirmées sont des officiers. Cela ne veut pas dire qu'un soldat tué sur cinq est un officier. Ils sont peut-être ramenés du champ de bataille plus rapidement, ou bien leur décés est occupe plus de place dans les médias locaux.

La majorités des pertes confirmées concerne des parachutistes (du simple soldat au colonel) On peut exeplier ce phénomène par le fait que les parachutistes sont souvent utilisées comme troupes d'assaut.

On trouve aussi dans la liste 10 membres des forces spéciales, les spetsnaz. 

Et les Russes ont aussi confirmé la mort de 10 pilotes, navigateurs ou mécaniciens. Ce sont des spécialistes dont la formation est très couteuse : 3 millions de dollars pour un pilote confirmé.

Il a été constaté des pressions sur les journalistes locaux qui publient des informations sur la mort de militaires. Quelques fois l'article est supprimé deux ou trois jours après sa publication, quelques fois une heure après.

En Sibérie, un gouverneur a ordonné qu'aucune information sur des soldats tués ne soit publiée, et l'on fait pression sur les familles pour qu'elles se taisent. La publication du nombre de tués dépend donc aussi de l'attitude des autorités régionales plus ou moins conciliantes.

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