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Thomas Hollande considère que ses propos offensifs contre Valérie Trierweiler ont été déformés par Le Point
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Chut devant

La journaliste qui les a recueillis dément.

[Mis à jour à 20h25]

La journaliste Charlotte Chaffanjon qui a signé le papier pour Le Point se défend sur Twitter d'avoir déformé les propos de Thomas Hollande. Elle écrit ainsi "C'est un article, ce n'est pas une interview. Aucun propos n'a été déformé".


[Mise à jour à 20h]

Thomas Hollande a affirmé mercredi soir à l'AFP que ses propos avaient été "déformés" par Le Point.

Le fils de François Hollande règle très sévèrement ses comptes avec la compagne de François Hollande, dans un entretien à paraître dans Le Point, ce jeudi 12 juillet. Une information que l'on peut lire sur Le Lab d'Europe 1.

Oubliées les allusions. Cette fois, Thomas Hollande expose directement ses reproches à Valérie Trierweiler.

Au coeur du débat, le tweet de soutien adressé à Olivier Falorni, candidat dissident qui se présentait contre sa mère, Ségolène Royal, dans la première circonscription de Charente-Maritime.

 Dans des confidences livrées à une journaliste du Point, publiées dans l'édition à paraître ce jeudi 12 juillet - et dont l'intégralité a été diffusée sur Twitter ce mercredi - il juge ainsi : "Ce que je reproche au tweet, c'est d'avoir fait basculer la vie privée dans la vie publique."

Selon l'hebdomadaire, Thomas Hollande décrit un François Hollande "ahuri" par le tweet de sa compagne.

 "Ca m'a fait de la peine pour mon père, il déteste tellement que l'on parle de sa vie privée.", ajoute-t-il. Et il assure même : "Ca a détruit l'image normale qu'il avait construite."

"Je savais que quelque chose pouvait venir d'elle un jour, mais pas un si gros coup. C'est hallucinant", poursuit le fils aîné du président, qui comme son frère et ses soeurs, ne veut plus voir la journaliste. "C'est logique non? Et puis ce qui compte, c'est qu'on normalise les relations avec notre père", explique-t-il.

Pour Thomas Hollande, la situation actuelle "est un facteur d'instabilité... soit elle est journaliste, soit elle a un cabinet à l'Elysée". "Et surtout, ajoute-t-il, pas de deuxième tweet!".

Valérie Trierweiler continue à publier des chroniques dans Paris Match.

François Hollande a promis à son fils qu'il s'exprimerait à propos du tweet. Dans l'entourage du président, on estimait mardi probable que le chef de l'Etat réponde à des questions sur ce sujet lors de son interview télévisée du 14 juillet.

Dans le court article du Point, Thomas Hollande raconte encore l'avenir qu'il souhaite pour sa mère - donnée, depuis sa défaite aux législatives, à plusieurs postes différents : "Ministre, pourquoi pas, dans quelques mois : en politique, on n'est jamais mort."

Lu sur Le Lab

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