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Rythmes scolaires : des écoles fermées dans une quinzaine de communes, l’Etat va saisir la justice
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Plusieurs maires ont fait fermer les grilles des écoles, ce mercredi matin, pour protester contre la réforme des rythmes scolaires. "Intolérable", tempête la ministre.

Une quinzaine de maires, opposés à la réforme des rythmes scolaires, ont refusé d’ouvrir leurs écoles ce mercredi 3 septembre, alors que la semaine est passée à 4,5 jours, contre 4 auparavant. Comme l’avait déjà averti la nouvelle ministre de l’Education nationale, l’Etat va saisir la justice voir se substituer aux maires, a annoncé Najat Vallaud-Belkacem.

Très virulente ce mercredi matin, la locataire de la rue de Grenelle a accusé ces maires de commettre un acte "antirépublicain" et "intolérable", rapporte lefigaro.fr.

LIRE AUSSI >> Les techniques des maires pour fermer leurs écoles

En début de semaine, le ministère de l’Education nationale tablait sur une trentaine de communes concernées - sur les 24.000 que compte l’Hexagone - "mais un certain nombre de maires qui avaient manifesté de la résistance se sont rangés à la raison", a assuré la ministre en visite à l'école Denis-Diderot, à Gennevilliers (Hauts-de-Seine).

Que risques les maires qui font fermer leurs écoles, à l’image de Nicolas Dupont-Aignan, maire de Yerres (Essonne), président de Debout la République et qui avait rameuté les médias pour s'offrir au passage un bon coup de com' ? Interrogé par Le Figaro, Yvon Goutal, avocat spécialiste du droit des collectivités locales expliquent qu’ils encourent "une suspension d’un mois maximum, voire une révocation".

Lu sur lefigaro.fr

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