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Revivez le meeting de Nicolas Sarkozy à Paris
©Reuters

Offensif

Pour ce meeting ce vendredi soir Porte de Versailles, l'ancien président de la République a dit vouloir rassembler sa famille politique.

  • Nicolas Sarkozy a tenu son premier meeting parisien
  • Il a redonné un nouveau souffle à sa campagne
  • plusieurs milliers de personnes étaient présentes Porte de Versailles
  • Il a beaucoup parlé de rassemblement 

FIN DU DIRECT

19h51 : "La République a mille visages mais elle n'a qu'une seule âme"

"La République a mille visages mais elle n'a qu'une seule âme, tournée vers la justice et vers le progrès humain. (...) voilà notre France, la vraie France, celle que nous ne voulons pas laisser mourir. C'est pour elle que nous allons nous battre. Vive la République ! Vive la France !"

19h50 : l'appel au rassemblement

"Chaque chose en son temps pour 2017. Une histoire commence. Prenons le temps de l'écrire ensemble. (...) Dans la politique que nous allons bâtir, chacun saura qu'il est plus intelligent avec les autres que tout seul.  Nous allons bâtir une force politique qui sera force de proposition. Vous allez en être au coeur. Plus vous me donnerait un mandat clair, plus notre formation politique sera reconstruira vite. (...) Vous serez le moteur, la première expression de ce nouveau grand projet politique". 

19h46 : Nicolas Sarkozy fixe le cap

19h45 : "il ne faut pas abandonner la culture"

"Honte à ceux qui abandonnent la langue de la République française. La façon dont on traite le budget de la culture est une honte et une faute"

19h40 : Sarkozy évoque l'Europe

"Nous voulons une Europe qui exerce moins de compétences. Nous voulons un gouvernement de la zone euro où la France et l'Allemagne travaillent main dans la main. (...) Nous ne voulons pas d'une Europe qui cherche à se construire sur la table rase des identités, des histoires, des cultures"

19h37 : La République et la propriété 

19h35 : l'ancien président parle de l'assistanat

19h32 : Sarkozy évoque la burqa

19h28 : Sarkozy distingue République et démocratie

"Les 1 000 petites fêlures se rassemblent aujourd'hui pour devenir une grabnde fracture. (...) La Répulique ne se confond pas avec la démocratie. La République, c'est une morale et elle ne doit reconnaître aucune communauté. Elle ne reconnaît que des citoyens égaux en droit et en devoir. La démocratie est divisible, la République est indivisible"

19h24 : "la France doit pouvoir choisir qui elle veut recevoir sur son territoire"

"Le repli de la France sur elle-même détruirait le miracle français. Même si elle a le droit de se protéger et même si elle doit pouvoir choisir qui elle veut recevoir sur son territoire".

19h21 : Nicolas Sarkozy restera ferme

19h19 : "il faut refuser le mensonge"

"Le vote doit être la voie naturelle pour trancher nos débats, ce doit être notre but. (..) On doit avoir l'honnêteté à la place de la langue de bois. Il faut reconnaître les défaillances, les erreurs et les assumer. Il faut refuser le mensonge car c'est la seule attitude qui redonnera la confiance aux Français".

19h17 : "pas de courant, pas d'écurie, mais une famille où on se respecte"

"La politique doit aller vers les talents, les penseurs, les artistes, les philosophes. (...) Nous ne voulons pas de la médiocrité dans notre famille politique".

19h15 : "Rassembler, c'est construire le parti de la France

"Rassembler, c'est construire le parti de la France. Tout le monde doit pouvoir apporter sa contribution. Tout le monde doit pouvoir échanger"

"Il faut un mouvement fondé sur l'échange, sur l'intelligence, la fraternité et le compagnonage. Les partis politiques meurent du vide, de l'ennui au nom d'une unité de façade"

19h11 : Nicolas Sarkozy appelle au rassemblement

"Le combat doit devenir un espoir. Nous ne pouvons pas avoir les mêmes parti qu'avant. Les partis où le chef décide et où les militants suivent sont morts. C'est fini. Au 21e siècle, un parti politique n'est pas une caserne, ni une secte".

"Nous devons d'abord reconstruire notre parti. Nous devrons offrir une alternance au désastre actuel. (...) Nous ne devons pas nier nos déchirements d'hier et tout remettre à plat. Il faut surmonter les clivages et appeler tous les Français au rasssemblement".

19h07 : "il ne faut pas prendre la colère de nos compatriotes à la légère"

"Face à ce gouvernement, il y a la colère de ceux qui n'en peuvent plus. (...) Les gens ont peur de se sentir étrangers dans leur propre pays. Cette colère qui monte contre l'impôt, contre l'Etat, contre les autres. Ne pas l'entendre serait irresponsable".

19h05 : "il faut affronter les difficultés"

"Ceux qui prédisaient que bientôt, il n'y aurait plus rien entre le PS et le FN, je leur demande de regarder ici, Porte de Versailles. Avons nous jamais connu une telle colère contre ce gouvernement ? A t on jamais ressenti un tel climat de défiance de suspicion, de renoncement ? Nous n'avons pas le droit de rester les bras croisés face à ce naufrage"

19h00 : Nicolas Sarkozy est arrivé 

L'ancien président a serré les mains de ses sympathisants venus très nombreux.

18h55 : la salle est comble

Dans une salle comble, Claude Goasguen et Philippe Goujon ont fait des discours introductifs. NKM a aussi pris la parole et a dit que l'UMP avait besoin d'une refondation et d'un chef.

18h45 : des ténors de l'UMP sont dans la salle

Henri Guaino qui a participé à l'écriture de son discours, Philippe Goujeon, Nathalie Kosciusko-Morizet, Jean-François Lamour ou encore Bernadette Chirac sont dans la salle. Ils sont venus soutenir l'ex-président pour son premier meeting parisien.

Ce qu'il faut savoir avant ce meeting

Ce vendredi soir, l'ancien président sera en meeting à Paris, Porte de Versailles, le premier pour les militants de la capitale. Plusieurs milliers de personnes sont attendues. L'ex-chef de l'Etat voudra apparaître en rassembleur mais aussi en leader de son camp. Selon son entourage, "il parlera peu de politique générale et beaucoup du parti". "Il va dire qu'il prend la responsabilité de sa famille politique. Il veut apparaître comme un chef de clan sans exacerber les tensions" nous a indiqué un de ses proches.

Nicolas Sarkozy veut donc tracer "une nouvelle trajectoire" pour l'UMP. "Il faut agir vite et bien, montrer qu'il peut fédérer sa famille politique, et ce, avant le 29 novembre" poursuit ce proche. Contrairement à la dizaine de réunions publiques tenues jusqu'ici par l'ancien président de la République, il n'y aura pas de séance de questions-réponses avec le public.

La politique générale et la situation du pays devraient être assez peu évoquées. Quant à la prestation de François Hollande de jeudi soir sur TF1, il n'aurait pas prévu d'aborder le sujet. Son discours devrait durer une heure environ et aurait été préparé avec l'aide d'Henri Guaino, son ancienne "plume" à l'Élysée. "Qu'est-ce que la droite aujourd'hui ?", "Quelles sont les valeurs de la droite et du centre ?", "Être gaulliste, libéral ou keynésien a-t-il encore un sens ?"... Tels sont quelques-uns des thèmes dont il entend parler.

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