« Ressortir le kärcher » : Valérie Pécresse assume vouloir « nettoyer les zones de non-France »<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Valérie Pecresse s'adresse à la presse lors d'une visite au centre communautaire Mas Dossetto (Guichet Enfance Jeunesse) à Salon- de-Provence, le 6 janvier 2022.
Valérie Pecresse s'adresse à la presse lors d'une visite au centre communautaire Mas Dossetto (Guichet Enfance Jeunesse) à Salon- de-Provence, le 6 janvier 2022.
©PASCAL GUYOT / AFP

Campagne électorale

Au lendemain de sa déclaration dans La Provence, Valérie Pécresse a réemployé la phrase empruntée à Nicolas Sarkozy.

Lors d’un déplacement ce jeudi, Valérie Pécresse a défendu son argument choc, utilisé mercredi dans les colonnes de La Provence. Dans un entretien au journal La Provence, la candidate LR a repris les propos de Nicolas Sarkozy en affirmant vouloir « ressortir le kärcher de la cave » pour « nettoyer les quartiers ».

Ce jeudi elle confirme ce choix des mots lors d'un déplacement à Salon-de-Provence :

« Oui, il faut ressortir le kärcher. Il faut traquer les caïds, les voyous, les criminels et les dealers (...). Il faut nettoyer tous ces quartiers qui sont devenus des zones de non droit, voire même parfois des zones de non-France ».

Face à la phrase polémique d'Emmanuel Macron qui dit vouloir « emmerder » les non-vaccinés, la candidate LR a donc tenté de marquer les esprits avec cette déclaration.

Valérie Pécresse affirme donc ce jeudi que ce sont « les délinquants » qu'il faut « harceler, punir et priver de leur citoyenneté ».

Elle a aussi précisé qu’elle comptait durant son mandat, créer « 20.000 places de prison supplémentaires », notamment en « réhabilitant les courtes peines » dans des « centres de détention provisoire ».

BFMTV

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !