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Réforme ferroviaire : l’exécutif n’entend pas faire marche arrière
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Bras de fer

Le Premier ministre Manuel Valls et le secrétaire d’Etat aux Transports Frédéric Cuvillier martèlent que la réforme se fera et qu’elle est "indispensable".

Alors que le texte sur la réforme ferroviaire est arrivé à l’Assemblée nationale ce mardi après-midi, et que la grève des cheminots attaquera mercredi son 8e jour, l’exécutif a martelé ce mardi que celle-ci aurait bien lieu.

Frédéric Cuvillier, le secrétaire d'Etat aux Transports, a appelé tous les députés à soutenir cette réformequi prévoit notamment de réunir la SNCF et RFF pour stabiliser la dette de cette dernière et préparer l’ouverture du marché à la concurrence comme prévue par Bruxelles. "Je souhaite pouvoir compter sur l'ensemble de la représentation nationale face à cette date qui est une date importante pour le ferroviaire", a-t-il déclaré devant les députés. La réforme doit être examinée jusqu’à jeudi à l’Assemblée.

>> Réforme ferroviaire : ce qu’il nous en coûterait de céder aux grévistes SNCF (même pour un projet insuffisant)

Manuel Valls, le Premier ministre, après avoir assuré lundi de la "nécessite" d’un rapprochement entre la SNCF et RFF, a confirmé ce mardi, dans l’enceinte du palais Bourbon, la remise prochaine au Parlement d'un rapport consacré à la lourde dette du système ferroviaire, principalement portée par Réseau Ferré de France (RFF), afin d'établir des "solutions envisageables" à moyen terme "à cette dette insupportable", rapporte lefigaro.fr. L’avenir de la dette de RFF est un des points qui inquiète les cheminots, en grève contre cette réforme ferroviaire depuis plus d’une semaine.

Lu sur lefigaro.fr

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