Quevilly continuera de rêver en finale de la Coupe de France <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
France
Quevilly continuera de rêver
en finale de la Coupe de France
©

Petit poucet

Le club de National s'est défait (2-1) mercredi de Rennes, qui évolue en Ligue 1.

Quel que soit le résultat de leur aventure, ils s’en souviendront comme d’un point culminant de leur carrière. Car l’exploit des footballeurs de Quevilly est de taille : leur équipe qui évolue en national, l’équivalent de la troisième division, s’est qualifiée mercredi pour la finale de la Coupe de France en battant Rennes, sixième au classement de la Ligue 1.

Rapidement mené 1 à 0, Quevilly s’est réveillé à une demi-heure de la fin du match pour revenir au score puis prendre l’avantage dans les ultimes secondes du temps additionnel, délivrant les supporters du stade Michel d’Ornano de Caen où le match avait été organisé. Le héros de la soirée s’appelle Anthony Laup, auteur du but qui envoie son équipe au Stade de France, où les Normands affronteront Lyon en finale le 28 avril.  

Un rêve que Quevilly avait déjà caressé des yeux. En 2010, l’équipe avait fait sensation en se hissant jusqu’en demi-finale de la Coupe de France, où elle s’était inclinée de justesse face au PSG, après avoir éliminé Boulogne sur Mer, alors en Ligue 1, et … Rennes, déjà, en quart de finale. 85 ans auparavant, leurs ancêtres avaient eux atteint la finale, perdue en 1927 contre Marseille.

La dernière équipe de National a avoir atteint la finale était Amiens en 2001, mais aucune équipe de troisième division n’a jamais emporté le trophée. Quevilly pourrait par ailleurs faire coup double : s’il bat Lyon, il se qualifiera pour la Ligue Europa. Et s’il perd mais que Lyon se qualifie pour la Ligue des Champions, il pourra participer à la compétition européenne. Rien que ça. 

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !