Procès des sondages de l'Elysée : Nicolas Sarkozy sera finalement entendu comme témoin<!-- --> | Atlantico.fr
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Nicolas Sarkozy lors d'une audience devant le tribunal. Il sera convoqué devant la 32e chambre du tribunal de Paris le 2 novembre comme témoin dans le cadre du procès des sondages de l'Elysée.
Nicolas Sarkozy lors d'une audience devant le tribunal. Il sera convoqué devant la 32e chambre du tribunal de Paris le 2 novembre comme témoin dans le cadre du procès des sondages de l'Elysée.
©MARTIN BUREAU / AFP

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Nicolas Sarkozy est convoqué devant la 32e chambre du tribunal de Paris le 2 novembre comme témoin dans le cadre du procès des sondages de l'Elysée.

Nicolas Sarkozy va être convoqué devant la 32e chambre du tribunal de Paris, le 2 novembre prochain, comme témoin dans le cadre du procès des sondages de l'Elysée. Cité comme témoin à comparaître par l'association Anticor, l'ancien président de la République,  avait refusé de se rendre à l'audience en invoquant son immunité. Le tribunal a néanmoins décidé de le convoquer au début du mois de novembre.
Le procès dit des sondages de l'Elysée s'est ouvert depuis ce lundi à la 32e chambre du tribunal de Paris. Cité comme témoin à comparaître par l'association Anticor, Nicolas Sarkozy avait fait savoir par un courrier de son avocat qu'il ne se rendrait pas au procès malgré sa convocation.
Dans une décision rendue publique ce mardi 19 octobre en début d'après-midi, le tribunal a décidé de convoquer malgré tout Nicolas Sarkozy, estimant que son immunité "ne fait nullement obstacle à une audition en tant que témoin". 
Nicolas Sarkozy devra donc donner sa version des faits au sujet de cette affaire mettant en cause cinq de ses proches collaborateurs. Nicolas Sarkozy est donc désormais tenu de se rendre à l'audience, au besoin sous la contrainte de la force publique.
Le tribunal a estimé que le témoignage de l'ancien chef de l'Etat, dont les prévenus assurent qu'il a lui-même ordonné de commander des sondages sans appel d'offres à ses conseillers Pierre Giacometti et Patrick Buisson, "est nécessaire à la manifestation de la vérité". 
Le Figaro

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