Primaire UMP : Nicolas Sarkozy et Alain Juppé ex-aequo chez les sympathisants de droite<!-- --> | Atlantico.fr
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Nicolas Sarkozy en route pour la présidence de l'UMP et la primaire de 2016
Nicolas Sarkozy en route pour la présidence de l'UMP et la primaire de 2016
©Reuters

Du 50/50

D'après un sondage Harris Interactive pour LCP rendu public jeudi soir, ils sont 37% à vouloir que l'ancien président de la République gagne la primaire et soit le candidat UMP en 2017. Idem pour le maire de Bordeaux.

Nicolas Sarkozy revient mais il n'a pas gagné d'avance. Si l'ancien chef de l'Etat devrait remporter l'élection de la présidence de l'UMP en novembre prochain, il pourrait avoir plus de difficultés à vaincre à la primaire du parti en 2016. C'est ce que démontre un sondage Harris Interactive pour LCP réalisé auprès des sympathisants UMP et publié jeudi soir. Nicolas Sarkozy est au coude à coude avec Alain Juppé.

La question posée était : "à l'issue de la primaire ouverte à droite, quelle personnalité souhaiteriez-vous voir désignée comme candidat de la droite à l'élection présidentielle de 2017 ?". 37% des sympathisants de droite ont répondu Alain Juppé. Le même score pour l'ancien président de la République. Chez les sympathisants UMP, Nicolas Sarkozy l'emportent facilement avec 58% des voix contre 28% pour le maire de Bordeaux.

Lorsque la question est posée aux Français en général, c'est Juppé qui l'emporte. 31% des personnes interrogées veulent qu'il soit le candidat de la droite en 2017 contre 21% à Nicolas Sarkozy. Bruno Le Maire arrive en troisième position de l'ensemble du sondage juste devant François Fillon. 31% des Français ne veulent voir "aucune de ces personnalités" comme candidat.

Concernant la présidence de l'UMP, 56% des personnes sondées souhaitent que Nicolas Sarkozy prenne la tête du parti. Enfin, 65% des Français affirment que c'est une "mauvaise chose" que l'ancien président de la République revienne en politique. L'"ex-chef de l'Etat va devoir convaincre.
Sondage réalisé en ligne les 10 et 11 septembre auprès d'un échantillon de 1.225 personnes représentatif de la population française de plus de 18 ans (méthode des quotas).
Lu sur Le Parisien

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