Policiers brulés à Viry-Châtillon : visés par des plaintes pour faux en écriture, les enquêteurs se défendent<!-- --> | Atlantico.fr
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Viry-Châtillon
©Thomas SAMSON / AFP

Soupçon

Trois des enquêteurs répondent de manière anonyme aux accusations dont ils font l'objet

Visés par des plaintes pour faux en écriture publique, trois enquêteurs de la sûreté départementale de l’Essonne, chargés d’identifier les agresseurs des policiers grièvement brûlés en 2016 à Viry, se défendent et assument leur travail, de manière anonyme dans Le Parisien.

Plus que le climat des auditions des suspects, c’est leur retranscription qui pose question. « Pour mon client, il n’y avait que 15 pages de retranscription, alors qu’en ayant accès à celle des bandes d’enregistrement (...), il y en avait 245 ! » s’est étonnée Me Mauger-Poliak, avocate d’un acquitté.

« Si vous faites du mot à mot, les PV sont longs de 200 pages, impossible à taper en quatre jours de garde à vue, réplique Laurent. Pour certains, si vous écrivez la réponse telle quelle, vous ne comprenez rien. Donc vous reformulez, vous mettez en bon français. L’important est de ne pas dénaturer les propos. »

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