Nicolas Sarkozy veut augmenter de 30% les salaires des enseignants en échange d'une réduction des effectifs<!-- --> | Atlantico.fr
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Nicolas Sarkozy
Nicolas Sarkozy
©Reuters

Promesse

Le candidat à la présidence de l'UMP participait à une réunion publique mercredi soir à Toulouse.

Nicolas Sarkozy multiplie les déplacements. Mercredi soir à Toulouse, il a à nouveau participé lors d'un meeting à une nouvelle séance de questions-réponses.

GPA-PMA

Après avoir déclaré lundi soir vouloir réécrire la loi Taubira, Nicolas Sarkozy a expliqué être "totalement opposé à la GPA pour les homosexuels comme pour les hétérosexuels". Toutefois, concernant la PMA, le candidat à la présidence de l'UMP a déclaré être pour concernant les couples hétérosexuels mais contre pour les couples du même sexe. "Je n'accepte pas l'expression droit à l'enfant. La vie est un mystère. Elle n'appartient pas à la décision de l'homme", a-t-il déclaré.

Education

Comme lors de son meeting à Vélizy dans les Yvelines lundi, Nicolas Sarkozy a expliqué vouloir réduire le nombre d'enseignants en France. "Je propose que la durée de travail des enseignants augmente de 30%, 4 à 5 heures en plus pour aider en dehors de la classe les enfants en difficulté", a-t-il expliqué. Ajoutant que dans le même temps : "En contrepartie, la rémunération des enseignants sera augmentée de 30% et nous supprimerons 30% de postes d'enseignants."

Sécurité

"Il n'y a pas de société sans autorité, sans leadership. Il faudra remettre au goût du jour la discipline et la sanction", a assuré Nicolas Sarkozy. Interrogé sur le respect de la loi républicaine, l'ex-président a déclaré que "le désaccord est abyssal entre Mme Taubira et nous. La sanction doit être plus dure quand l'intégrité d'une victime a été atteinte." Promettant dans la foulée le rétablissement des peines-plancher.

Economie

Dans ce domaine, Nicolas Sarkozy répète qu'il souhaite rétablir la défiscalisation des heures supplémentaires. Il s'est ensuite attaquer à la gauche : "La gauche française aimer partager soit l'argent qu'elle n'a pas, soit l'argent des autres, de ceux qui travaillent." Indiquant alors vouloir adapter la fiscalité des entreprises pour les rendre compétitives et renouvellant son souhait de permettre aux entreprises qui le souhaitent de sortir des 35 heures.  

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