«Nahel, Adama», «Ni oubli, ni pardon» : un monument aux morts vandalisé dans la Creuse en marge du Tour de France<!-- --> | Atlantico.fr
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Dans la nuit de samedi à dimanche, le monument aux morts pacifiste érigé après la Première Guerre mondiale dans la commune de Gentioux-Pigerolles (Creuse) a été tagué de plusieurs inscriptions.
Dans la nuit de samedi à dimanche, le monument aux morts pacifiste érigé après la Première Guerre mondiale dans la commune de Gentioux-Pigerolles (Creuse) a été tagué de plusieurs inscriptions.
©ERIC CABANIS / AFP

Acte de vandalisme

Le monument aux morts pacifiste de Gentioux-Pigerolles a été tagué dans la nuit de samedi à dimanche, avant le passage du Tour de France dans la commune. Le maire de la commune envisage de porter plainte.

Un acte de vandalisme. Dans la nuit de samedi à dimanche, le monument aux morts pacifiste érigé après la Première Guerre mondiale dans la commune de Gentioux-Pigerolles (Creuse) a été tagué de plusieurs inscriptions.

Le nom de plusieurs des victimes du conflit a été recouvert des prénoms de Nahel, Adama, Zyed et Bouna, tous décédés dans le cadre de contrôles de police ces dernières années. De l’autre côté du monument, l’inscription «Ni oubli, ni pardon» a été tracée à la peinture noire. Sur une autre face, l’acronyme «ACAB» («All Cops Are Bastards», «Tous les flics sont des bâtards») est également peint.

Ces tags, qui font notamment référence aux émeutes de 2005, à la mort de Nahel à Nanterre le 27 juin dernier et au rassemblement en hommage à Adama Traoré, ont été effacés par les services techniques du département dans la matinée. Certaines inscriptions restaient visibles dans la journée, quelques heures avant le passage de la 110e édition du Tour de France dans la commune.

Le Figaro

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