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Merkel ne lâche pas
les créanciers privés
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Dette grecque

La chancelière a lâché du lest face à Nicolas Sarkozy vendredi, mais elle repart à la charge contre les banques.

Angela Merkel recule, mais elle ne renonce pas totalement. La chancelière s'exprimait samedi face aux représentants de son parti : 

"Et maintenant laissez-nous bien sûr essayer d'avoir une contribution substantielle."

Angela Merkel fait référence à la contribution des créanciers privés dans le dossier de la crise grecque. Poussée par la base de son parti, qui souhaite que les banques prennent leur part du fardeau, elle prônait jusqu'à vendredi une participation obligatoire des créanciers privés. Face à Nicolas Sarkozy et à la Banque Centrale Européenne, elle a finalement accepté que cette participation ne soit plus obligatoire, mais volontaire.

Mais la mise au point de samedi est une façon ne pas relâcher la pression sur les banques. Les Allemands refusent catégoriquement que les contribuables des pays vertueux ne finissent par régler seuls la note des pertes financières liées à la dette grecque.

Lu sur l'AFP

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