Loi Travail : les syndicats peinent à s'accorder sur un texte commun <!-- --> | Atlantico.fr
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Au terme d'une réunion au siège de la CGT, sept organisations syndicales ont lancé un appel à des grèves et manifestations le 31 mars.
Au terme d'une réunion au siège de la CGT, sept organisations syndicales ont lancé un appel à des grèves et manifestations le 31 mars.
©Reuters

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La CFDT, la CFE-CGC, la CFTC, l'Unsa et la Fédération des associations générales étudiantes (Fage) exigent le retrait de l'article qui prévoit de plafonner les indemnités prud'homales en cas de licenciement abusif.

Onze syndicats de salariés, d'étudiants et de lycéens se réunissaient ce jeudi au siège de l'Unsa, en région parisienne, afin de formuler des revendications communes, mais seulement cinq d'entre eux se sont parvenus à s'entendre. Alors que l'opposition à la loi Travail est partagée par l'ensemble des représentants des salariés, les conditions d'une modification du texte ne parviennent pas à être exprimées d'une seule voix. 

La CFDT, la CFE-CGC, la CFTC, l'Unsa et la Fédération des associations générales étudiantes (Fage) exigent le retrait de l'article qui prévoit de plafonner les indemnités prud'homales en cas de licenciement abusif.

Qualifiés de "réformistes", ces organisations syndicales demandent également la réécriture de l'article relatif aux conditions des licenciements économiques et l'abandon de la disposition faisant du territoire national le périmètre d'évaluation de ces conditions. De leur côté, la CGT et FO rejettent la totalité du texte. Au terme d'une réunion au siège de la CGT, ces sept organisations syndicales ont lancé un appel à des grèves et manifestations le 31 mars. 

>>>> à lire aussi : Pourquoi les signataires de la pétition contre la loi El Khomri ne sont pas si représentatifs des catégories les plus malmenées sur le marché du travail

Lu sur le Figaro

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