Bataille
Les "sans-dents" : Hollande se justifie, Trierweiler l'enfonce
Le président est revenu sur cet épisode dans le livre des journalistes du Monde. Sur Twitter, son ancienne compagne en a remis une couche.
Décidemment, les "sans-dents" collent à la peau de François Hollande. Dans le livre confession de Gérard Davet et Fabrice Lhomme (Le Monde), le chef d'Etat revient sur cet épisode, admettant qu'il avait bien utilisé cette expression avec Valérie Trierweiler mais sans une once de moquerie. "Je lui ai dit : Je vois des gens qui viennent vers moi dans les manifestations, ce sont des pauvres, ils sont sans dents", explique François Hollande. Selon lui, l'interprétation de son ex-compagne est "odieuse, c'est une trahison", affirme-t-il. "Quand je dis : j'aime les gens, c'est vrai".
Valérie Trierweiler n'a pas tardé à réagir avec deux tweets, publiés ce mercredi matin.
1- "Je suis avec ma copine Bernadette dans une grande manifestation dans son canton. Je lui ai fait un numéro de charme. Mais tu ne dois pas
— Valerie Trierweiler (@valtrier) 12 octobre 2016
2- t'inquiéter. Dans son discours, elle a fait un lapsus formidable. Rire général, même chez les sans-dents" F. Hollande. 31/05/2005. 12h39
— Valerie Trierweiler (@valtrier) 12 octobre 2016
Un message qui ressemble fort à un SMS, envoyé par François Hollande. Il y évoque Bernadette (probalement Chirac), dans son canton de Corrèze. Et y parle des fameux "sans-dents" sans le sérieux évoqué dans le livre.
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