La Russie pourrait très bientôt publier les emails confidentiels d'Hillary Clinton<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
La Russie pourrait très bientôt publier les emails confidentiels d'Hillary Clinton
©Reuters

Espionnage

Des puissances étrangères ont eu accès aux emails de la secrétaire d'Etat, et Poutine pourrait vouloir les publier pour avoir une influence sur la campagne électorale américaine.

Un représentant officiel d'une agence de renseignement des États-Unis a confirmé au Washington Times le 29 juin que l'intelligence américaine surveillait étroitement les blogs et sites Internet russes, dans l'attente d'une publication des e-mails privés d'Hillary Clinton par Moscou, qui selon eux pourrait arriver à tout moment. Pour l'instant, deux publications numériques ont sonné l'alerte chez les espions américains, mais elles n'ont rien pu confirmer en ce sens.

On se souviendra que, lorsqu'elle était chef de la diplomatie américaine, Hillary Clinton avait utilisé une adresse email privée et un serveur d'emails personnel au lieu de son adresse email officielle, afin de circonvenir aux lois américaines sur l'archivage des données et la transparence de la vie politique. Or ce serveur n'était pas bien sécurisé, et il apparaît maintenant que ses mails ont probablement été lus par des puissances étrangères, dont, probablement, la Russie.

La semaine dernière, des rapports ont confirmé l'intrusion de pirates informatiques russes dans les serveurs de la Fondation Clinton. La Russie est en tête du classement des services secrets américains des nations les plus capables en termes de cyber espionnage.

Lire aussi : Hooliganisme, mouvements de troupe et puissance militaire, mais que cherche à faire Vladimir Poutine ?

Lu sur le Washington Times

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !