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Les blocages dans les universités ont fait plus d'un million d'euros de dégâts selon Frédérique Vidal
©BERTRAND GUAY / AFP

Addition salée

Selon la ministre de l'Enseignement supérieur, Frédérique Vidal, le montant estimé des dégâts liés aux blocages dans les universités représente une somme astronomique.

Depuis de nombreuses semaines, une dizaine de sites universitaires sont bloqués par des étudiants opposés à la réforme de l'accès à l'université et contre la politique d'Emmanuel Macron. Avec l'arrivée imminente des calendriers des examens et avec les périodes de vacances scolaires, certaines universités ont dû être évacuées par les forces de l'ordre. Dans certains cas, comme à Montpellier, les étudiants bloqueurs sont partis avant l'intervention des CRS. 

L'étendue des dégâts après l'occupation des sites universitaires concernés est extrêmement impressionnante.  
La ministre de l'Enseignement supérieur, Frédérique Vidal, était invitée dans le cadre de l'émission "L'Epreuve de vérité" sur la chaîne Public Sénat, en partenariat avec l'AFP, Radio Classique et Les Echos.
A cette occasion, Frédérique Vidal a donc dressé un constat terrible sur le coût des dégradations constatées après les occupations de différentes universités à travers l'Hexagone.
"Il est important de savoir qui a commis ces dégâts car c'est le contribuable qui va payer."
D'après Frédérique Vidal, "les devis sont en cours" pour le campus de Paris 1 à Tolbiac. Les dégâts estimés sont chiffrés entre 200 000 et 300 000 euros de dégâts. 
Selon les premières estimations, le coût des dégradations avoisine la somme de 300 000 euros pour le site de l'université Paul-Valéry de Montpellier. Le site de Nanterre ou les locaux de Sciences Po Paris ont également été occupés récemment.   
Depuis le début du mois d'avril, une dizaine d'universités sur 400 à travers la France sont perturbées ou bloquées par des étudiants mobilisés contre la loi Orientation et réussite des étudiants (ORE). 
Les autorités, la ministre de l'Enseignement supérieur (Frédérique Vidal) et les présidents d"universités vont tout mettre en oeuvre pour que les examens se déroulent dans les meilleures conditions dans les toutes prochaines semaines. 
Lu sur France Info

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