L'exécutif a durci le ton, il mise sur la vaccination pour éviter le confinement et ne craint plus les anti-vaccins<!-- --> | Atlantico.fr
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Emmanuel Macron
Emmanuel Macron
©PASCAL GUYOT / AFP

Coronavirus

Il y a urgence une quatrième vague pourrait saturer les hôpitaux à la rentrée selon l'institut Pasteur

A neuf mois du scrutin présidentiel où il pourrait jouer sa réélection, Emmanuel Macron n’ignore rien du péril que le variant Delta met sur sa route. Et son discours du lundi 12 juillet témoigne du dernier pari présidentiel : tout faire pour ne pas enfermer de nouveau le pays, déjà laminé par quinze mois de restrictions, afin de pouvoir se projeter dans l’après-2022 analyse Le Monde.

"Contrairement à son attitude, fin 2020, lors du démarrage de la campagne vaccinale, l’exécutif semble ne plus redouter les « antivax »." Ce ne sont pas les quelques milliers de manifestants, plus ou moins violents qui ont défilé hier dans plusieurs villes, dont Paris (ou un engin de chantier a été incendié) qui feront reculer le pouvoir.

Malgré les critiques de l'extrême-droite et de l'extrême gauche, la majorité présidentielle est confiante. D'alleurs un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro, publié hier, montre qu'une large majorité des Français est favorable aux mesures annoncées par le président de la République lundi.

L’explosion des demandes de vaccination, avec quelque trois millions de rendez-vous pris quarante-huit heures après l’allocution présidentielle incite à l'optimisme, mais le risque d'un nouveau couvre-feu, ou d'un nouveau confinement n'est pas écarté selon l’épidémiologiste Antoine Flahault cité par Le Monde.

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