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Jean-Pierre Chevènement : "On n'est pas obligé de faire deux quinquennats"
©Reuters

Les réactions

Voici les réactions de la matinée sur l'actualité politique.

Jean-Pierre Chevènement : "On n'est pas obligé de faire deux quinquennats" affirme l'ancien ministre sur RTL. "On peut aussi dire : 'J'ai fait ce que j'avais à faire. J'ai fait de mon mieux pour agir en fonction des intérêts de la France mais dans les conditions actuelles, je ne me représente pas.'" S'il trouve des qualités à François Hollande, il refuse, pour le moment, d'apporter son soutien à n'importe quel candidat.

Christian Eckert : François Hollande "mérite d'être soutenu, accompagné, et que l'on travaille jusqu'au bout du quinquennat" estime le secrétaire d'Etat chargé du budget, sur France Inter.

Jean-Frédéric Poisson : "Le besoin de nouveauté et d'une offre différente se fait ressentir" affirme sur Itélé, la révélation de la primaire de droite, précisant qu'il "n'est pas impossible que je ne soutienne aucun des finalistes".

Jean-Christophe Lagarde : "Nous n'avons pas décidé de soutenir Alain Juppé par anti-sarkozisme" prévient le patron de l'UDI qui répète qu'il "n'y aura pas de soutien automatique du parti" si leur candidat n'est pas choisi. Et de poursuivre : "l'obsession de l'identité nationale de Nicolas Sarkozy est fausse et figée.

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