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Incidents du 1er mai lors du défilé du FN : Nicolas Sarkozy fustige "l'outrance et la violence de certains"
©Reuters

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De son coté, vendredi soir, Nathalie Kosciusko-Morizet a déploré un "FN qui ne change pas".

Les leaders politiques ont tiré à boulets rouges sur le FN. Après les incidents qui ont émaillé le défilé du parti de Marine Le Pen, les ténors du PS et de l'UMP ont réagi. Ainsi, Nicolas Sarkozy s'est exprimé vendredi soir sur Twitter. Le président de l'UMP a fustigé "l'outrance et la violence de certains" estimant que cela n'avait pas sa place le jour du 1er mai.

"Bon 1er mai à tous, symbole de la valeur travail, de l'effort, du mérite. L'outrance et la violence de certains n'ont pas leur place ajd. NS" a écrit l'ancien président de la République sur Twitter. Quelques minutes plus tard, Nathalie Kosciusko-Morizet a elle aussi réagi en déplorant un "FN qui ne change pas". "Je l'avais écrit et je le signe, en organisant la succession entre Jean-Marie Le Pen et Marine Le Pen, on a changé la devanture mais pas l'arrière-boutique", a-t-elle indiqué ajoutant : "On en a aujourd'hui une nouvelle confirmation. Entre l'expulsion des Femen dans une violence hors de proportion, et les ovations faites à Jean-Marie Le Pen qui vient de réitérer ses propos sur la collaboration et la Shoah, le FN se montre tel qu'il est: un parti d'extrême droite".

Plus tôt, Manuel Valls avait également déploré un "spectacle effrayant" donné par le FN. "Retenir du 1er Mai les conquêtes et le progrès social, plutôt que le spectacle effrayant d'une extrême droite qui ne change pas" avait-il demandé aux Français, peu après la fin du défilé. 

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