Guyane : les premières mesures de sécurité annoncées<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Guyane : les premières mesures de sécurité annoncées
©AFP

Sortie de crise ?

La Guyane entame une "journée morte" avec une "grève générale illimitée."

Tous les yeux sont désormais braqués vers la Guyane et la "grève générale illimitée" qui s'annonce dès ce mardi. Le dialogue se poursuit néanmoins avec les représentants de l'Etat pour tenter de trouver une sortie de crise. Dans un communiqué, Matthias Fekl, le ministre de l'intérieur, et Ericka Bareigts, la ministre des outre-mer, saluent le travail de la délégation interministérielle et font de premières annonces. "Nous saluons l'esprit de responsabilité des différentes parties prenantes" explique le communiqué. "Sur les mesures immédiates en matière de sécurité, la présence d'un escadron de gendarmes mobiles sera sanctuarisée. Les travaux de préparation du terrain du commissariat de Cayenne commenceront cette année. Un échographe portable sera installé à l'aéroport de Cayenne. Des barrages volants par la gendarmerie seront mis en place et la surveillance des fleuves sera intensifiée de jour comme de nuit."

Sur RTL, l'ancienne ministre de la Justice et ancienne députée de Guyane Christiane Taubira a aussi réagi. "Nous avons senti et vu venir cette colère sur des revendications différentes. Elle était perceptible" explique-t-elle. Evoquant les "500 frères", elle estime qu'il n'est "pas concevable qu'ils ne soient pas à visage découvert". Pour autant, ce sont des jeunes qui sont identifiés dans la société. Ils sont des interlocuteurs dans la mesure où ils font partie des collectifs mais ce n'est pas à moi de définir la délégation qui va discuter avec l'État"

Lu sur RTL

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !