Free Mobile : un premier anniversaire mouvementé, un marché bousculé<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
High-tech
Xavier Niel a bousculé le marché de la téléphonie mobile
Xavier Niel a bousculé le marché de la téléphonie mobile
©Reuters

Une bougie

Il y a un an, Free Mobile est entré dans le marché des opérateurs téléphoniques promettant de le révolutionner. Alors, Free a-t-il tout compris ?

Un an déjà. Free Mobile s'est d'ores et déjà installé dans le marché français de la téléphonie mobile. En janvier 2012, Xavier Niel, prenant pour l'occasion des airs de Steve Jobs, présentait ces offres qui allaient tout révolutionner. Tout illimité à 19,99 euros, forfait SMS illimités à moins de 10 euros ou encore le forfait social de 2 euros, le moins que l'on puisse dire est que Free a bousculé le paysage des opérateurs. Un an après, les effets positifs se font vivement ressentir. Ainsi, la facture mobile moyenne par carte SIM a baissé à 21,6 euros fin 2012, soit -13,9 %, d'après les chiffres de l'observatoire des marchés des communications électroniques en France, de l'Arcep.

Au contraire, les usages mobiles sont en hausse puisqu'en une année, 29,55 milliards de minutes ont été consommées, soit une hausse de 15,8 %. En outre, 44 milliards de SMS ont été envoyés, soit une augmentation de 23,1% de la consommation. Free a réussi a "casser" les prix obligeant ses concurrents Orange, SFR et Bouygues Telecom à s'aligner voire à offrir des forfaits moins chers.

En revanche, la qualité du service chez Free Mobile a été récemment pointée du doigt par un reportage dans l'émission Envoyé Spécial, sur France 2 et montrant que les débits de Free Mobile sont particulièrement faibles dans les zones d'itinérance avec Orange, notamment à Paris.

Lu sur Le Point

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !