Emmanuel Macron met en garde l'extrême droite contre un amalgame entre «le rejet des musulmans et le soutien des juifs»<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Politique
Le président de la République n'a pas dit, dans son discours devant le Grand-Orient de France, s'il comptait participer à la grande marche contre l'antisémitisme dimanche à l'appel des présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat.
Le président de la République n'a pas dit, dans son discours devant le Grand-Orient de France, s'il comptait participer à la grande marche contre l'antisémitisme dimanche à l'appel des présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat.
©Thibault Camus / POOL / AFP

Discours devant le Grand-Orient de France

Le président de la République n'a pas dit, dans son discours devant le Grand-Orient de France, s'il comptait participer à la grande marche contre l'antisémitisme dimanche à l'appel des présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat.

Emmanuel Macron a mis en garde mercredi 8 novembre ceux qui «prétendent soutenir nos compatriotes de confession juive en confondant le rejet des musulmans et le soutien des juifs», dans une allusion claire à l'extrême droite. «S'en prendre à un juif», «c'est toujours chercher à atteindre la République», a aussi dit le chef de l'État dans un discours devant le Grand Orient de France, principale obédience française de francs-maçons.

Emmanuel Macron n'a pas dit, dans ce discours, s'il entendait participer à la grande marche contre l'antisémitisme dimanche à l'appel des présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat, à laquelle sera présente la première ministre Elisabeth Borne. Selon plusieurs de ses interlocuteurs, il penche plutôt pour ne pas s'y rendre, mais sa réflexion se poursuit.

Le Figaro

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !