Emmanuel Macron assure qu'il n'est pas "l'obligé" de François Hollande <!-- --> | Atlantico.fr
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Emmanuel Macron a lancé son mouvement politique baptisé "En Marche" le 6 avril dernier.
Emmanuel Macron a lancé son mouvement politique baptisé "En Marche" le 6 avril dernier.
©Reuters

Sentiment

"J'ai une loyauté personnelle envers François Hollande (...) En même temps, lorsqu'un président nomme quelqu'un ministre, il le fait parce qu'il pense que c'est bon pour son pays, pas pour en faire son obligé", estime le ministre de l'Economie.

A l'occasion d'un entretien à paraître vendredi 22 avril dans les journaux du groupe Ebra, Emmanuel Macron évoque sa "loyauté personnelle envers François Hollande", tout en expliquant ne pas avoir le sentiment d'être "son obligé" ou encore l'homme d'un "clan".

"J'ai une loyauté personnelle envers François Hollande. Je lui dois de m'avoir fait confiance et de m'avoir nommé au gouvernement. En même temps, lorsqu'un président nomme quelqu'un ministre, il le fait parce qu'il pense que c'est bon pour son pays, pas pour en faire son obligé", explique le ministre de l'Economie, deux semaines après le lancement de son mouvement politique baptisé "En Marche". 

"Dans la logique actuelle, on parle d'abord des personnes (...) Les partis choisissent d'abord un candidat, qui cherche à accentuer le clivage droite-gauche pour gagner sa primaire. Ensuite, chacun va chasser des voix au centre pour gagner l'élection. Et au lendemain de l'élection, on cherche à reconstruire des équilibres, des unions, on lance un grand bilan du pays", poursuit Emmanuel Macron.

Le ministre estime également qu'il faut "faire les choses dans l'autre sens : d'abord le bilan, le diagnostic du pays, ensuite les idées et les actions pour y répondre et enfin les personnes". 

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Lu sur Le Figaro

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