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DSK :  "J'ai eu une relation consentie mais stupide" avec Nafissatou Diallo
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Affaire du Sofitel

Dans un livre à paraître jeudi, l'ex-patron du FMI donne sa version des faits sur les affaires du Cartlon et du Sofitel.

Une relation "consentie mais stupide". C'est en ces termes que Dominique Strauss-Kahn évoque dans un livre à paraître jeudi, sa relation avec Nafissatou Diallo dans la suite 2806 du Sofitel de New York. 

Dans Affaires DSK, la contre-enquête, dont Paris Match publie des extraits ce mercredi 30 novembre, le biographe attitré de Dominique Strauss-Kahn, Michel Taubmann dit s'appuyer sur des confidences de l'ancien directeur du FMI.

L'ancien favori pour la présidentielle de 2012 reconnaît avoir "une vie sexuelle libre" mais dit qu'un tel comportement n'a rien de rare dans la politique ou les affaires et assure n'avoir "rien fait d'illégal". "Rien ne serait arrivé si je n'avais pas eu cette relation consentie mais stupide avec Nafissatou Diallo", confie Dominique Strauss-Kahn. "Ce jour-là, j'ai ouvert la porte à toutes les autres affaires", ajoute-t-il.

Selon DSK, Nafissatou Diallo n'aurait été ni surprise ni choquée de le voir sortir nu de la salle de bains. Elle se serait dirigée vers la sortie sans se hâter avant de fixer Dominique Strauss-Kahn du regard, écrit le biographe. Ce dernier y aurait vu une invitation et n'aurait pas résisté à la tentation d'un acte sexuel précipité mais consenti.

Michel Taubmann évoque aussi la possibilité que la femme de chambre se soit attardée dans la chambre pour voler le téléphone portable que Dominique Strauss-Kahn dit avoir égaré. L'auteur relate aussi une conversation entre DSK et Anne Sinclair dans laquelle l'ancien ministre des Finances évoque le "piratage" de sa messagerie et le fait que des courriels privés échangés avec son épouse se soient retrouvés entre les mains de l'UMP.  Un élément repris récemment par le journaliste américain Edward Epstein pour relancer la thèse d'un complot politique contre DSK.

Michel Taubmann revient également sur les soirées libertines de Dominique Strauss-Kahn, au cours desquelles, "il ne débourse jamais un centime" et "ne se pose pas la question de savoir si ses partenaires d'un soir sont rémunérées". L'ancien directeur général du FMI avoue ne pas supporter que son nom soit associé à la prostitution et au proxénétisme, qu'il a "en horreur".

Lu sur l'Express.fr

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