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Les derniers jours 
très protégés de Steve Jobs
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Huit clos

Le fondateur d’Apple refusait de répondre aux centaines de coups de fils quotidiens qui sonnaient comme autant d’au-revoirs, et préférait rester en famille et avec ses proches.

C’est un défilé funèbre, qui s’est emballé à mesure que Steve Jobs voyait son cancer gagner du terrain. Après avoir annoncé en février 2011 à quelques proches que ses jours étaient comptés, le fondateur d’Apple a reçu des appels de plus en plus fréquents, de ceux qui l’avaient côtoyé plus ou moins régulièrement. Pour s’enquérir de sa santé, ou pour tenter de lui adresser un au revoir en avance…

La plupart de ces coups de téléphone étaient filtrés par sa femme Laurence. Qui remerciait poliment les émetteurs, mais expliquait que Steve Jobs était trop fatigué, notamment dans les dernières semaines, pour parler. « Tout le monde voulait avoir un morceau de Steve », dit l’une de ses connaissances proches.

Une fatigue qui avait incité Steve Jobs à garder ses forces pour un cercle privilégié. L’inventeur, discret sur sa vie privé, au ton toujours calme et feutré,  aura passé ses dernières semaines comme toute  sa vie : en contrôlant précisément ses choix. Des collègues d’Apple, quelques amis proches, son biographe, ont ainsi pu le côtoyer dans ses derniers jours.  Mais c’est surtout avec sa famille que Jobs a voulu passer du temps. Et ses enfants, qu’il décrit, selon un proche, comme étant « 10 000 fois mieux que tout ce que j’ai pu faire ».

Lu sur le New York Times

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