Christine Lagarde écarte l'idée d'une candidature à la primaire de la droite <!-- --> | Atlantico.fr
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"Les résultats du sondage de Paris Match me touchent infiniment, mais je suis un poisson d'eaux internationales et non territoriales", a déclaré la présidente du FMI.
"Les résultats du sondage de Paris Match me touchent infiniment, mais je suis un poisson d'eaux internationales et non territoriales", a déclaré la présidente du FMI.
©Reuters

Une chose à la fois

Selon un sondage Ifop pour Paris Match, 44% des Français voudraient que l'ancienne ministre de l'Economie de Nicolas Sarkozy soit candidate à la primaire de la droite et du centre en vue de l'élection présidentielle de 2017.

Moins d'une semaine après avoir annoncé qu'elle briguera un second mandat à la tête du Fond monétaire international, Christine Lagarde évoque la politique française dans un entretien accordé à Paris Match. "Manuel Valls, Laurent Fabius et Emmanuel Macron, tous m'ont fait part de leur appui", salue la présidente du FMI, qui semble être restée très populaire dans l'hexagone. 

Selon un sondage Ifop pour Paris Match, 44% des Français voudraient en effet que l'ancienne ministre de l'Economie de Nicolas Sarkozy soit candidate à la primaire de la droite et du centre en vue de l'élection présidentielle de 2017. Chez les sympathisants des Républicains, ce soutien s'élève même à 66%. 

Malgré ce pourcentage élevé d'opinions favorables, Christine Lagarde exclut l'idée d'un retour sur la scène politique française : "Je l'ai imaginé. Envisagé. Pour finalement l'écarter (…) Les résultats du sondage de Paris Match me touchent infiniment, mais je suis un poisson d'eaux internationales et non territoriales", confesse-t-elle, avant d'évoquer son poste au FMI : "C'est une magnifique maison. Et j'y suis dans mon élément. Beaucoup de projets et d'initiatives mis en route lors des cinq années précédentes doivent être menés à terme. Ils me tiennent à cœur et j'aimerais les voir se réaliser".

"J'ai pris la décision d'être candidate à ma propre succession à la tête du FMI, donc je vais être prise par cette mission dans les cinq ans qui viennent, si, bien sûr, ma candidature est retenue", conclut Christine Lagarde. 

Lu sur Le Figaro

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