Chine : 7,75% de croissance selon le FMI, prévision revue à la baisse<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
International
Chine : 7,75% de croissance selon le FMI, prévision revue à la baisse
©

Pas mal quand même

La deuxième économie mondiale a connu l'an dernier sa croissance la plus faible en 13 ans, à 7,8%, en raison d'une réduction de la demande à la fois externe et interne.

Pour n'importe quel pays actuel ou presque, avoir un taux de croissance positif constitue une victoire. Pour tous, sauf pour la Chine. Habituée à des progressions importantes, les dirigeants chinois font (un peu) grise mine. En effet, le Fonds monétaire international a abaissé de 8% à "environ 7,75%" sa prévision de croissance pour 2013. Une information confirmée mercredi à Pékin par le directeur général adjoint du Fonds.

"En dépit du climat mondial anémié et incertain, on s'attend à une croissance de l'économie chinoise d'environ 7,75% cette année et d'à peu près la même chose l'année prochaine", a déclaré David Lipton dans une conférence de presse. Le FMI avait déjà abaissé le mois dernier sa prévision de croissance pour la Chine de 8,2% à 8%.

Grâce à des mesures de relance de Pékin, la hausse du produit intérieur brut (PIB) avait entamé un rebond à 7,9% au quatrième trimestre 2012, mais il a été de courte durée, le PIB n'ayant progressé que de 7,7% au dernier trimestre, malgré une très forte expansion du crédit. Récemment, des experts ont conclu que la croissance en Chine continuait à ralentir, après l'annonce par Pékin d'un tassement de la progression des investissements au mois d'avril. De quoi inquiéter les dirigeants chinois ? "En haut lieu, on se pose des questions et surtout on cherche des solutions pour relancer la machine" explique un spécialiste économique.

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !