Castex en marche arrière toute : finalement la "commission indépendante" ne réécrira pas l'article 24 de la loi "sécurité globale"<!-- --> | Atlantico.fr
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Jean Castex
Jean Castex
©ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP

Couac

Les présidents du Parlement et du Sénat avaient ouvertement exprimé leur opposition à toute intervention extérieure dans le processus législatif

Les frondeurs ont gagné, majorité et opposition se sont rebellés contre Jean Castex lorsqu'il a annoncé confier la réécriture de l'article 24 de la loi «sécurité globale» à une commission indépendante.

Dans la nuit, plusieurs députés de la majorité ont échangé des messages acerbes à l'endroit de l'exécutif, accusé de mépriser le processus législatif souligne Le Figaro.

Ce matin, les rebelles ont reçu le soutien des présidents de l'Assemblée nationale et du Sénat, Richard Ferrand (LREM) et Gérard Larcher (LR), qui sont à leur tour monté au créneau. 

Castex a du battre en retraite assurant qu'il comprenait parfaitement l'émotion des députés. Et il a confirmé dans une lettre qu'a consulté le Figaro, "qu'il n'entrera pas dans le périmètre de cette commission le soin proposer une réécriture d'une disposition législative, mission qui ne saurait relever que du Parlement".

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