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Candidature d'Emmanuel Macron : les premières réactions politiques
Après la déclaration de candidature, les commentaires n'ont pas tardé à apparaître, à droite comme à gauche. "Il faut de l'expérience" affirme Manuel Valls.
Forcément, quand on se présente, ni de droite, ni de gauche, on s'attire les foudres de tout le paysage politique. Quelques minutes après sa déclaration, les attaques se sont multipliées.
Au gouvernement :
"Pour porter cette responsabilité, il faut – j'ose le dire devant vous – une éducation à la conduite du pouvoir, à la responsabilité, un sens de l'Etat. Il faut de l'expérience, une expérience qui a été éprouvée par le temps (...) Il faut de la force et non pas de la légèreté" a déclaré Manuel Valls, sans citer son ancien ministre.
A droite :
Macron à l'élection présidentielle c'est une bonne nouvelle pour les déçus du Hollandisme qui n'auront pas besoin d'aller voter Juppé.
— Nadine Morano (@nadine__morano) 16 novembre 2016
Fin du suspense insoutenable:Macron est candidat..Le quinquennat de Hollande,catastrophique,se termine dans la débandade générale..
— Roger KAROUTCHI (@RKaroutchi) 16 novembre 2016
A gauche :
Macron en refusant d'être candidat aux primaires se rend responsable du risque d'éliminatº de la gauche dès le 1er tour présidtielles #BFMTV
— Benoît Hamon (@benoithamon) 16 novembre 2016
Il manque 2 valeurs dans le discours de #Macron : justice & égalité. Car il n'a jamais eu à connaître ni l'injustice ni l'inégalité #BFMTV
— Benoît Hamon (@benoithamon) 16 novembre 2016
#Macron annonce sa candidature. Dans ce contexte, est-ce vraiment nécessaire de maintenir les primaires de droite? 😉
— Olivier Besancenot (@olbesancenot) 16 novembre 2016
Au Front National
Ni Droite, Ni Gauche : #Macron ! Droits d’auteur ! Mon pronostic : 3 à 4%.
— Jean-Marie Le Pen (@lepenjm) 16 novembre 2016
Le discours de #Macron, c'est le vide intersidéral. Ça plaira aux bobos et aux électeurs perdus du centre mou.
— Robert Ménard (@RobertMenardFR) 16 novembre 2016
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