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Bruno Retailleau souhaite que la présidente de l'UNEF, Mélanie Luce, soit jugée pour « provocation à la haine raciale » suite à ses propos sur Europe 1.
Bruno Retailleau souhaite que la présidente de l'UNEF, Mélanie Luce, soit jugée pour « provocation à la haine raciale » suite à ses propos sur Europe 1.
©Bertrand GUAY / AFP

Nouvelles critiques

Bruno Retailleau demande à ce que la présidente de l'UNEF soit jugée pour « provocation à la haine raciale ». Mélanie Luce, la présidente du syndicat étudiant de l'UNEF, a reconnu mercredi sur Europe 1, lors d'une interview avec Sonia Mabrouk, que son syndicat organisait des réunions non-mixtes, interdites aux blancs.

Le syndicat étudiant de l'UNEF est pointé du doigt suite aux récentes déclarations de sa présidente, Mélanie Luce. Elle a reconnu sur Europe 1 ce mercredi matin qu'il y avait bien des réunions non-mixtes organisées par son syndicat, interdites aux blancs, pour évoquer « le racisme ».
Invité sur France Inter jeudi matin, Bruno Retailleau, le président du groupe Les Républicains au Sénat, a tenu à réagir suite aux propos de la présidente de l'UNEF. 
Bruno Retailleau souhaite que Mélanie Luce, la présidente de ce syndicat étudiant, soit poursuivie en justice :  
« Je demande au Garde des Sceaux d'utiliser un moyen pour mettre en œuvre l'action publique pour la condamner, ou en tout cas pour rechercher ses responsabilités, pour provocation à la haine raciale ».
Bruno Retailleau estime qu'il s'agit d'une certaine forme d'« américanisation » du pays : 
« On est en train d'américaniser la France, de racialiser les rapports sociaux. La civilisation, c'est le dépassement de la nature par la culture. C'est le retour aux origines, à la race. C'est terrible ce qu'on vit là. Il faut réagir avec beaucoup de force ». 
Le Figaro

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