Boston : avant de mourir, Tamerlan Tsarnaev téléphone à sa mère pour lui dire qu'il l'aime <!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Faits divers
Tamerlan Tsarnaev est mort suite à un violent affrontement avec les forces de l'ordre.
Tamerlan Tsarnaev est mort suite à un violent affrontement avec les forces de l'ordre.
©Reuters

Dernier appel

Le suspect présumé de l'attentat de Boston a passé un dernier coup de fil à sa mère Zubeidat Tsarnaeva avant la violente fusillade l'opposant aux policier américains.

Le coup de téléphone avant la fusillade. Le poseur de bombes de Boston Tamerlan Tsarnaev a passé un coup de téléphone à sa mère avant la violente confrontation avec les forces de l'ordre dans laquelle il a été tué.  

Le jeune homme âgé de 26 ans a ainsi déclaré à sa mère Zubeidat Tsarnaeva dans ses derniers moments "la police, ils ont commencé à nous tirer dessus, ils nous poursuivent".  Au moment du coup de fil, le poseur de bombes affrontait les officiers de police dans la banlieue de Watertown. Et finalement, les derniers mots de Tamerlan Tsarnaev furent pour sa mère : "Maman, je t'aime".

Arrivé inconscient au Centre médical Beth Israel Deaconess, Tamerlan Tsarnaev avait subi des blessures si importantes que le docteur David Schoenfeld a expliqué qu'il était impossible de déterminer lesquelles avaient mené à sa mort. Ce sera le rôle du coroner de déterminer les causes du décès.

Le Wall Street Journal a indiqué que quelques jours avant la mort de Tamerlan Tsarnaev, sa mère l'avait appelé, inquiète pour la sécurité de son fils. Le jeune homme lui aurait alors répondu : "Maman, pourquoi t'inquiètes-tu donc ?"

Le jeune poseur de bombes avait également reçu un coup de téléphone du FBI l'accusant de l'attaque selon Zubeidat Tsarnaev et son mari Anzor auquel leur fils aurait répondu "Cela, c'est votre problème". Tamerlan Tsarnaeva aurait parlé de ce coup de fil à ses parents quelques jours après les attentats perpétrés lors du marathon de Boston aux Etats-Unis. 

Lu sur The Daily Mail

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !