Bernard Petit, le patron du "36 Quai des Orfèvres" en garde à vue<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Société
Bernard Petit, le patron du "36 Quai des Orfèvres" en garde à vue
©

Interpellation

Son placement en garde à vue concernerait une affaire de violation du secret de l’instruction.

Bernard Petit est en garde à vue. Selon des informations d'Europe 1 données ce mercredi midi, le directeur de la police judiciaire parisienne a été arrêté tôt ce matin. Son placement en garde à vue concernerait une affaire de violation du secret de l’instruction. Le patron du "36 Quai des Orfèvres" est "suspecté d'avoir divulgué des informations à une personne déjà visée par une enquête" écrit le site de la radio.

Des perquisitions ont eu lieu dans le bureau de Bernard Petit. Il avait pris la succession de Christian Flaesch, "viré" pour avoir informé Brice Hortefeux de sa future convocation chez les juges dans l'affaire du financement de la campagne de 2007 de Nicolas Sarkozy.

Christian Prouteau, l'ancien préfet et patron du GIGN, déjà mis en examen en octobre dernier dans le cadre de l'affaire Rocancourt, «l'escroc des stars» est lui aussi en garde à vue. L'homme a déjà été condamné à une peine de 8 mois de prison avec sursis et au versement d'une amende de 5 000 euros dans le cadre de l'affaire des écoutes de l'Élysée en 2005.

"Si au terme de ces gardes à vue, il apparaît que des manquements graves ont été commis par des policiers ou d'anciens policiers, je serai d'une fermeté absolue et je serai intraitable à l'égard de tous ceux qui au sein de mon administration ne se conforment pas rigoureusement aux règles qui doivent prévaloir dans une administration comme la nôtre, qui est censée faire respecter le droit en tous points du territoire national et conduire les enquêtes de façon irréprochable" a déclaré Bernard Cazeneuve devant la presse.

lu sur Europe 1

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !