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Assange et le piège à miel
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Espionnage

Le sexe est une arme du monde de l'espionnage.

C'est l'un des arguments des partisans de Julian Assange. Le fondateur de WikiLeaks aurait été victime d'un "piège à miel". Une expression qui désigne une mise en scène ou un stratagème liés au sexe, utilisés par des services d'espionnage pour discréditer ou faire chanter un individu, ou tout simplement pour obtenir des confidences sur l'oreiller.

Slate.com rappelle que cette arme ancestrale, que l'on pourrait rapprocher de l'histoire de Samson et Dalila, est toujours très utilisée dans le monde du renseignement. Après avoir connu des sommets pendant la guerre froide, le piège à miel a refait surface en Russie récemment lorsqu'un opposant au régime a été filmé en plein ébat avec une jeune fille qui n'était pas sa femme. En Chine, un homme politique britannique s'est récemment réveillé dans son hôtel, drogué et sans son Blackberry, après avoir invité une jeune et jolie chinoise à passer la nuit avec lui.

Dans le cas Assange, la théorie d'un conspiration a pris assez d'ampleur pour que le porte-parole du ministère de la justice suédois la réfute et nie toute pression internationale dans sa procédure contre Julian Assange.

Un blog néo-zélandais note que cette affaire aurait tout eu pour stimuler l'imagination de l'auteur de Millenium, Stieg Larsson: du sexe, un complot international, et de l'informatique.

Lu sur Slate.com

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