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Arnaud Montebourg : si Hollande évite la primaire, "il ne s'en relèverait pas"
©Capture d'écran / BFM TV

Les réactions de la matinée

Le candidat de gauche veut absolument affronter le président de la République à la primaire de la gauche.

Arnaud Montebourg : "Ce qui moi m'intéresse c'est de rassembler les gauches. Pour rassembler les gauches, il vaut mieux que le candidat issu de la primaire de la gauche ne soit pas par exemple le Premier ministre qui a théorisé les gauches irréconciliables", a soutenu l'ancien ministre sur RMC et BFMTV. Et de prévenir : "Si le président se présentait en dehors de la primaire, ce serait inacceptable et il ne s'en relèverait pas"

Thierry Solère : "François Fillon a fait un score fort, avec une mobilisation forte" soutient le nouveau porte-parole de François Fillon sur France Inter. "La droite relève la tête. Le pays s'est appauvri, il y a plus de chômeurs. Les pauvres doivent ils devenir encore plus pauvres ? Dans tous les autres pays les administrations sont moins pléthoriques ; les familles mono parentales doivent être aidées. Notre système ne tend pas assez la main à ceux qui sont vraiment déshérités."

David Rachline : "Le programme de Fillon est extrêmement inquiétant et dangereux pour les classes populaires et pour les classes moyennes", affirme le député FN sur RTL préférant "le patriotisme économique et l'Etat stratège." Il donne ainsi l'exemple du plan de suppression d'emploi chez Airbus. "Moi, ministre de l'Économie, j'aurais convoqué immédiatement le président d'Airbus pour discuter avec lui", affirme David Rachline. Sur l'Europe, il critique, une nouvelle fois, François Fillon qui, selon lui va vers un Schengen puissance 2" et qui ne "remet rien en cause."

Nicolas Dupont-Aignan : "Je suis candidat à l’élection présidentielle, comme gaulliste, pour proposer une autre politique, que je crois absolument indispensable si on veut éviter de partir dans le fossé" souligne-t-il sur Public Sénat et Sud Radio. "Les responsables des problèmes d’aujourd’hui veulent punir le peuple de leur échec. Je dis aux Français : « Ne vous laissez pas faire, il est temps de réagir."

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