Après 9 ans de présence militaire au Mali, la situation est très précaire pour la France<!-- --> | Atlantico.fr
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Gabriel Attal
Gabriel Attal
©Capture d'écran France Info

Terrorisme

Les Européens prendront une décision sur la suite de leur engagement militaire au Sahel d'ici la mi-février

 Confrontée à une junte militaire hostile qui vient de réclamer le départ de son ambassadeur, la France se donne quinze jours pour établir une nouvelle stratégie au Mali, où elle est engagée depuis neuf ans dans la lutte contre le djihadisme. En 2020, pourtant, Paris était enfin parvenu à associer ses partenaires européens à son action au Sahel, en créant le groupement européen de forces spéciales Tabuka.

Mais l'arrivée aux affaires maliennes d'une junte militaire, déterminée à marquer ses désaccords avec Paris, vient perturber le travail effectué sur place. Les membres de Tabuka vont donc travailler « d'ici la mi-février » pour « prévoir une adaptation » de leur dispositif au Mali, au regard de l' « isolement progressif » de ce pays, a annoncé mardi 1er février le porte-parole du gouvernement Gabriel Attal sur France Info.

"Ce qui est certain, c'est qu'un on va continuer à lutter contre le terrorisme au Sahel", a ajouté Gabriel Attal, soulignant que "le Sahel n'est pas que le Mali". Pour lui, "quand on lutte contre le terrorisme sur place, avec des succès, avec des chefs terroristes qui ont été neutralisés par nos armées ces dernières années, on protège aussi notre pays, on protège aussi les Français et donc il faut continuer à le faire".

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