Retour sur les déclarations télévisées de 8 des 12 candidats à l'Elysée en réponse aux questions de TF1, sur la guerre<!-- --> | Atlantico.fr
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Eric Zemmour
Eric Zemmour
©Capture d'écran TF1

Télévision

La première émission télévisée réunissant les principaux candidats à l'élection présidentielle

Ça n'était pas un débat, et ils n'étaient pas tous là constate Le Figaro.

Pour la première émission télévisée réunissant en prime time et en direct les principaux candidats à l'élection présidentielle de 2022, huit des douze prétendants à l'Élysée, dont Emmanuel Macron, ont tour à tour répondu aux questions de TF1 ce lundi soir résume Le Figaro.

Macron n'a pas levé le voile sur son programme qu'il présentera jeudi. Si ce n'est pour confirmer qu'il entendait repousser l'âge légal de départ en retraite à 65 ans, instaurer une pension minimale de 1100 euros, supprimer les régimes spéciaux et continuer de baisser les impôts.

Marine Le Pen a «condamné de la manière la plus claire qui soit» l'invasion du pays par le Kremlin. Sans toutefois aller jusqu'à qualifier Vladimir Poutine de «dictateur».

Valérie Pécresse a plaidé pour «une autonomie stratégique» et «européenne». À ses yeux, la résolution de cette guerre ne passe pas par l'adhésion de l'Ukraine à l'Union européenne, mais plutôt par «une perspective européenne» donnée à Kiev.

«Je ne vais pas, pour vous faire plaisir, insulter Vladimir Poutine», a indiqué Eric Zemmour évoquant les «méthodes rudes» et «tyranniques» du locataire du Kremlin sans le qualifier de «dictateur» mais en reconnaissant qu'il était le "seul coupable".

Sur la guerre en Ukraine, Jean-Luc Mélenchon a défendu sa position de «non-aligné», estimant avoir «alerté sur tous les tons» depuis 2014 des risques d'un conflit. «Quand les Américains ont dit on va faire l'Otan jusqu'aux portes de la Russie, j'ai dit danger" souligne Le Figaro.

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