Retour à l'envoyeur
Valérie (Pécresse) à Nicolas (Sarkozy) : “ton fric tu peux te le garder !”
Elle n’a pas dit “casse-toi pov’ con" mais elle l'a pensé très fort
Benoît Rayski
Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.
Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.
Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.
La candidate LR a fait un score pitoyable aux élections. Même pas 5%. Elle doit ce résultat pathétique à sa campagne calamiteuse. Et aussi à Nicolas Sarkozy qui n’a cessé, jour après jour, de la piétiner consciencieusement.
N'ayant pas obtenu les 5 % nécessaires, elle ne sera pas remboursée des 5 millions qu'elle a engagé pour sa campagne. Pécresse a donc été contrainte de faire appel aux dons. Il y en a un dont elle aurait aimé se passer.
L’ancien président de la République lui a en effet fait un virement de 2000 euros. Une aumône ! Valérie Pécresse l’a renvoyé aussi sec.
On la comprend. Mais on comprend mal ce qu' il s'est passé dans la tête de Nicolas Sarkozy. Avait-il envie de se f... encore de sa gueule ? Car ayant puissamment contribué à sa défaite, c’est des millions qu'il lui doit.
On sait que Nicolas Sarkozy aime être taquin. Mais Valérie Pécresse n’est pas d’humeur à rire. Ayant empoché les 2000 euros qui lui ont été retournés, l'ancien président de la République a dit à Carla : “Avec ça, je vais pouvoir t’offrir une nouvelle robe”.
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