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Economie7 décembre 2020
JOHN THYS / AFP
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A contre-courant

Unilever teste la semaine de 4 jours en pleine crise économique du Covid. Mais la multinationale saura-t-elle éviter les pièges des 35h à la française ?

Mettant en avant la question de l’équilibre et du bien-être de ses salariés mais pas du tout celle du partage du travail, Unilever passe à la semaine de 4 jours sans réduction de salaire en Nouvelle-Zélande et envisage de le faire pour ses 150 000 salariés dans le monde.

Unilever teste la semaine de 4 jours en pleine crise économique du Covid. Mais la multinationale saura-t-elle éviter les pièges des 35h à la française ?