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Société8 mars 2016
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Agressés dans le public, exposés dans le privé

Un an après l’attentat de l’Hyper Cacher et quatre ans après celui de l’école Ozar Hatorah, le choix cornélien de la scolarisation des enfants juifs

La montée des violences antisémites, les tueries de Toulouse en 2012 et l'attentat de l'Hyper casher alimentent le sentiment d'insécurité dans les écoles publiques, au sein desquelles sont répertoriées de plus en plus d'incidents antisémites, mais aussi la peur que les écoles juives soient ciblées par les attentats terroristes. Face à ce dilemme cornélien, de plus en plus de familles juives choisissent de scolariser leurs enfants dans des écoles privées.

Un an après l’attentat de l’Hyper Cacher et quatre ans après celui de l’école Ozar Hatorah, le choix cornélien de la scolarisation des enfants juifs