L'Ancien Testament, la Bible, la Torah est une lumière que les siècles n'ont pas effacée. Dans la genèse il est dit qu'Israël" est le nouveau nom de Jacob fils d'Isaac et petit-fils d'Abraham. Traduction : "Celui qui affronte Dieu".
Alors que Jacob traversait le guet de Yabboq il dû se battre contre Dieu. Admiratif Dieu lui dit les mots suivants : "Jacob ne sera plus ton nom mais Israël car tu as jouté contre les puissances célestes et humaines et tu es resté fort".
De la Genèse, de l'Ancien Testament, nous sommes les héritiers. Mais quand même de façon indirecte. Le Nouveau Testament a en effet servi d'intermédiaire. C'est un livre plutôt sympathique mais un peu mièvre.
De Jésus, un prophète rempli de bonté, nous avons appris qu'humiliés et frappés il nous fallait tendre l'autre joue. De même il nous a été dit qu'il fallait "Rendre à César ce qui est à César".
Aucune révolte chez le Christ. Sauf au moment de mourir sur la croix quand il s'écria : "Eli, Eli lema sabachthani" ("Dieu, Dieu pourquoi m'as-tu abandonné"). Pas vraiment de révolte : juste une plainte.
Il nous faut maintenant citer un troisième livre saint : le Coran. On y trouvera la signification du mot "islam". Il veut dire "soumission". Et quand on est soumis soi-même on veut que les autres le soit aussi.
Fidèles à l'enseignement du Christ nous ne nous lassons pas de tendre l'autre joue. Avec tout le respect qui est dû au Nouveau Testament il serait peut-être bon d'abandonner les évangiles pour revenir à Jacob qui fut rebaptisé "Israël" parce qu'il était fort…
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