Quand l’intelligence artificielle bafoue l’intelligence…<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Société
Le logo de ChatGPT.
Le logo de ChatGPT.
©LIONEL BONAVENTURE AFP

Tromperie sur la marchandise !

Elle est programmée pour.

Benoît Rayski

Benoît Rayski

Benoît Rayski est historien, écrivain et journaliste. Il vient de publier Le gauchisme, maladie sénile du communisme avec Atlantico Editions et Eyrolles E-books.

Il est également l'auteur de Là où vont les cigognes (Ramsay), L'affiche rouge (Denoël), ou encore de L'homme que vous aimez haïr (Grasset) qui dénonce l' "anti-sarkozysme primaire" ambiant.

Il a travaillé comme journaliste pour France Soir, L'Événement du jeudi, Le Matin de Paris ou Globe.

Voir la bio »

Le logiciel porte le nom de ChatGPT. Il est pour le moins très singulier. Car il fournit toujours les mêmes réponses. Elles sont woke et progressistes.

Un chercheur s’est intéressé au fonctionnement de ChatGPT. Et ce qu’il a découvert montre que ce logiciel est résolument hostile aux réactionnaires.

Il en va de ChatGPT comme des voitures qui fonctionnent selon le carburant qu’on met dedans. Et ce qu’on a mis dans ChatGPT ne souffre aucune équivoque.

Sur la peine de mort, il répond de façon tout à fait automatique qu’il faut être contre.

Il peut vous aider à écrire un poème antiraciste. Mais il se refusera obstinément à formuler un poème raciste. SI vous tapez « homosexualité », il répondra invariablement qu’il faut être pour l’adoption par les couples homosexuels.

Tel qu’il est, il apparait, selon toute vraisemblance, qu’il a été mis au point par des spécialistes californiens libéraux et progressistes. Maintenant, retenez que dans « intelligence artificielle », il y a le mot « artificielle ». ChatGPT est en effet très, très artificiel !

À Lire Aussi

Une France sans milliardaires…

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !