Santé8 avril 2012
Dans un coma artificiel
Quand le corps est une prison
Transportées aux urgences pour un malaise, Angèle Lieby commence à avoir des difficultés à s’exprimer, puis perd connaissance. On la plonge dans un coma artificiel pour l’intuber. Le quatrième jour, elle ne se réveille pas. Mais Angèle est consciente et souffre sans pouvoir réagir. Extraits de "Une larme m'a sauvée" (1/2).
Quand le corps est une prison
avecAngèle Lieby