Olivier Roussat : "La mutualisation Bouygues-SFR est une façon de rivaliser avec les offres Orange et Free"<!-- --> | Atlantico.fr
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Olivier Roussat, DG de Bouygues Telecom
Olivier Roussat, DG de Bouygues Telecom
©BFM

Le Zap'Eco

Le replay du jour : 

Olivier Roussat était l’invité de BFM Business ce matin. Le directeur général de Bouygues était interrogé sur la signature du contrat de mutualisation des réseaux Bouygues-SFR.  "Depuis vendredi, on a la certitude que dans toutes les zones où il y avait deux opérateurs, il y en a maintenant trois, et donc de la concurrence !" argumentait-il. Il constate qu’"il  y a des zones ou nous ne sommes pas. Ce sont ce qu’on appelle les zones grises. Il se retrouve que Orange est celui qu’on y trouve le plus souvent l Et Free y est avec l’itinérance. C’est vrai que c’est gênant". Pour le directeur général, le réseau Orange, dont profite Free par l’itinérance, est une alliance concurrente à laquelle il répond par cet accord. "C’est une façon de rivaliser avec leurs offres". Couvrant 57 % de la population à terme, Olivier Roussat déclare que cet accord apportera "4 opérateurs à nos clients". Vivement questionné sur le sens réel de la mutualisation, le DG répond que les pouvoirs publics "ne veulent pas de fusion à 100% des réseaux". Sur une éventuelle fusion des entreprises auteures de la mutualisation, il répond n’être "que le PDG de Bouygues, je ne suis pas actionnaire du groupe ou de SFR".  

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Qui a dit ? 

"Je ne suis pas partisan de la sortie de l’euro mais du démontage voire de sa destruction"

Réponse : Philippe Villin sur France Inter. Ce banquier d'affaire affirme que "dès le traité de Maastricht, je savais que l’euro allait être un désastre. A l’époque on était très peu", critiquant la surévaluation de la monnaie, et "du niveau de l'euro par rapport au dollar."

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