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Jean-Sebastien Ferjou en 280 caractères
©NICOLAS ASFOURI / AFP

L'art de la punchline

Yves Cochet, Taha Bouhafs, Jacques Chirac et Lubrizol : Jean-Sébastien Ferjou réagit sur Twitter à l'actualité.

Jean-Sébastien Ferjou

Jean-Sébastien Ferjou

Jean-Sébastien Ferjou est l'un des fondateurs d'Atlantico dont il est aussi le directeur de la publication. Il a notamment travaillé à LCI, pour TF1 et fait de la production télévisuelle.

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Rififi avec Taha Bouhafs

Le militant Taha Bouhafs a été critiqué après un Tweet accusant la chaîne CNEWS d'être "responsable de la propagation de la haine contre les musulmans" et déclarant qu'il ne "faudra pas bégayer quand on va venir vous demander des comptes en bas de votre rédaction de merde". Il n'a pas apprécié la critique.

#Communismenousvoila

Un gigantesque incendie est survenu au sein de l'usine Lubrizol, le jeudi 26 septembre à Rouen. L'occasion pour des militants anticapitalistes de ressortir leur rengaine sur l'exploitation du prolétariat par les méchants patrons. Quitte à oublier les incidents industriels fréquents sous d'autres latitudes...

Quand Chirac mettait en scène sa colère...

Parmi les images que l’histoire retient de Jacques Chirac figure celle de sa visite à Jérusalem en 1996. Lors de sa visite de la Vieille ville, alors que les soldats israéliens sont omniprésents et l'empêchent d'emprunter certaines rues pour aller à la rencontre de Palestiniens, il s'emporte : "Qu’est-ce qu’il y a encore comme problème ? Je commence à en avoir assez ! What do you want ? Me to go back to my plane, and go back to France ? Is that what you want ? Then let them go. Let them do. (…) This is not a method. This is provocation. That is provocation. Please you stop now !". Mais tout cela était préparé...

Une excuse pour faire la grasse matinée

Si vous avez eu du mal à vous lever ce samedi matin, rassurez-vous : ça arrive à tout le monde. Même au Prince Harry. Mais lui explique que c'est à cause de son inquiétude concernant l'état de la planète...

La fin du monde, oui !

Un qui n'est plus inquiet, c'est l'ancien ministre de l'Environnement Yves Cochet. Il estime qu'il est trop tard pour sauver le monde et qu'il faut se préparer à l'effondrement. Il a accueilli une journaliste du Monde dans sa propriété bretonne, où il essaye tant bien que mal de vivre en autonomie. Pas si simple.

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