Economie3 août 2015
Série de l'été : ces échecs qui mènent au succès
Et si l’échec était un moteur de croissance ?
C’est bien connu, la France n’aime pas le risque et déteste l’échec. Dans tous les domaines, il est marqueur de médiocrité. Or, le progrès naît des erreurs et plutôt que d’inscrire le principe de précaution dans la Constitution, on devrait revendiquer haut et fort le droit de se planter.