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Internationalil y a 3 heures
La police interpelle un membre du parti Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI) lors d’une manifestation réclamant la libération de l’ancien Premier ministre emprisonné Imran Khan, devant l’Assemblée provinciale de Lahore, le 5 août 2025. Au moins six députés provinciaux et des dizaines de partisans ont été arrêtés ce jour-là, selon le parti, alors qu’un rassemblement était prévu en soutien à Imran Khan. Le 5 août marque les deux ans de sa première arrestation, dans le cadre de dizaines de dossiers qu’il affirme être politiquement motivés. (Image d'illustration)
La police interpelle un membre du parti Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI) lors d’une manifestation réclamant la libération de l’ancien Premier ministre emprisonné Imran Khan, devant l’Assemblée provinciale de Lahore, le 5 août 2025. Au moins six députés provinciaux et des dizaines de partisans ont été arrêtés ce jour-là, selon le parti, alors qu’un rassemblement était prévu en soutien à Imran Khan. Le 5 août marque les deux ans de sa première arrestation, dans le cadre de dizaines de dossiers qu’il affirme être politiquement motivés. (Image d'illustration) © AFP or licensors
Répression

Ces opposants que le régime pakistanais traque en Europe dans l’indifférence relative des autorités des pays concernés

Enlèvements, tortures, assassinats : le Pakistan réprime ses opposants à l’intérieur du pays mais aussi bien au-delà de ses frontières. Journalistes et militants exilés en Europe ou en Amérique du Nord affirment être surveillés, intimidés ou attaqués par l’ISI, tandis que plusieurs morts suspectes, de Karima Baloch à Sajid Hussain, renforcent les soupçons. Une répression transnationale qui interroge sur la capacité des démocraties occidentales à protéger sur leur sol les voix critiques d’un régime militaire autoritaire.

Ces opposants que le régime pakistanais traque en Europe dans l’indifférence relative des autorités des pays concernés