Anne Lauvergeon : "J'ai fait d'Areva une vraie réussite française"<!-- --> | Atlantico.fr
Atlantico, c'est qui, c'est quoi ?
Newsletter
Décryptages
Pépites
Dossiers
Rendez-vous
Atlantico-Light
Vidéos
Podcasts
Economie
Anne Lauvergeon : "J'ai fait d'Areva une vraie réussite française"
©Capture écran BFM Business

Le Zap'Éco

Le Replay

Anne Lauvergeon était l’invitée de BFM Business ce matin. L’ancienne présidente d’Areva, mise en cause pour sa gestion dans un pré-rapport de la Cour des comptes publié hier par Les Échos, a défendu ses 10 ans de présidence à la tête du groupe. "Si on veut faire un bilan des 10 ans de la création d’Areva 2001-2011, c’est une vraie réussite française devenu le premier groupe nucléaire mondiale, le premier producteur d’uranium". Coté chiffres, elle détaille ses résultats : "30 % de chiffre d’affaires, 30.000 emplois créés, une surperformance par rapport au CAC 40 de 165 %". Et même "3 milliards d'euros de dividendes rendus à l'Etat actionnaire et aux contribuables". Sur l’EPR, admet qu’il "est vrai il y a eu des difficultés". "Non seulement on ne les a jamais dissimulés mais on a été très transparent puisqu’on a donné le calendrier de la fin de la construction semestre après semestre". Anne Lauvergeon dénonce des "visions dépassées" et des "stratosphériques". "En dix ans on a voulu nous marier à Alstom. Ensuite on a voulu nous accoler à EDF. La seule chose devant laquelle je suis comptable, c’est devant les Français"

[LES AUTRES ARTICLES DE VOTRE BRIEFING ATLANTICO BUSINESS]

Qui a dit ?

"Celui qui dit que la France doit quitter l’euro n’est pas un patriote français"

Jean-Claude Juncker, invité d’Europe 1. Sur la croissance, le candidat à la présidence de la Commission européenne, qui sera élu dans le cadre des élections du Parlement européen, voudrait "que nous ne dépensions pas l’argent que nous n’avions pas. Je veux mettre en place un marché numérique en Europe" Egalement, "je voudrais avancer en matière de fiscalité d’entreprise". Il considère le président de la République française comme "un allié. J’ai de bonnes relations avec François Hollande". Sur Manuel Valls, il l’a vu "s’exprimer d’une façon qui [l]’a enchanté". "Je ne vois pas pourquoi je m’opposerais au gouvernement français." Candidat à la présidence de la Commission européenne, il déclare : "Je ferais en sorte que les Français soient mieux traités en Europe". Il déclare par ailleurs "Je ne serais par un président de la Commission partisan."


Juncker : "Je serai un allié pour Hollande et...par Europe1fr

Le sujet vous intéresse ?

Thématiques

En raison de débordements, nous avons fait le choix de suspendre les commentaires des articles d'Atlantico.fr.

Mais n'hésitez pas à partager cet article avec vos proches par mail, messagerie, SMS ou sur les réseaux sociaux afin de continuer le débat !