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Dans la tourmente

Sarkoleaks : l'avocat de Buisson authentifie les enregistrements

"Il s’agit d’un enregistrement authentique", a admis mardi soir l’avocat de Patrick Buisson, Gilles-William Goldnadel, interrogé sur BFM TV, qui évoque de simples "notes de travail".

Suite à la publication par le Canard Enchaîné du verbatim d'une réunion à l'Elysée le 27 février 2011, Atlantico publie ce mercredi des extraits d'un enregistrement de la matinée du samedi 26 février 2011 réalisé par Patrick Buisson à l'insu de Nicolas Sarkozy et de ses conseillers. Mais quand l'hebdomadaire Le Point avait révélé les pratiques de ce conseiller de l'ancien président, l'intéressé avait opposé un démenti ferme. "Patrick Buisson nie farouchement le fait d'avoir enregistré Nicolas Sarkozy à son insu" avait déclaré il y a quelques semaines son avocat, maître Gilles-William Goldnadel. L'avocat ajoutait même "Le Point raconte n'importe quoi".

Face aux révélations du Canard enchaîné et d'Atlantico, l'avocat a donc revu son discours. Interrogé mardi soir par BFMTV, il explique qu'en réalité "c'était des copies de travail. Il était en train de faire des enregistrements". Il précise même que son client n'a jamais changé sa version des faits.

Sur i>Télé, l'avocat de Patrick Buisson a affirmé ce mardi que son client "détruisait en principe la plupart de ces enregistrements pour en faire d'autres". "Il en a laissé traîner" et "quelqu'un les lui a dérobés". Affirmant qu'il utilisait un "dictaphone", maître Goldnadel s'insurge contre un usage "malfaisant et pervers" de ces enregistrements dévoilés ce mercredi.

lu sur BFMTV

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